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Nageoires et Ecailles

Poisson Clown



La Tora donne deux signes pour permettre un poisson à la consommation: les écailles et les nageoires.  
Sur ce, le Talmud s'interroge sur des détails pratiques, comme cela est mis en évidence par nos citations



Talmud de Babylone traité 'Houlin page 59 a 
"Et pour les poissons: celui qui possède écaille et nageoire" [les termes sont au singulier dans la Tora] : 
Rabbi Yéhouda enseigne: deux écailles et une nageoire (suffisent à rendre le poisson consommable). 
Les écailles sont fixées sur son corps et les nageoires lui permettent de se mouvoir. 


Rachbam (1080 – 1160) 


Et pour les poissons, il faut deux signes: nageoire et écaille, la nageoire qui sert à se mouvoir et l'écaille collée au corps. Et tout poisson qui possède des écailles possède aussi des nageoires. Si un poisson n'a pas d'écailles à la naissance mais seulement en grandissant, de même celui qui possède des écailles dans l'eau, mais sortie de l'eau il les perd, ces poissons sont permis. Et un poisson qui ne possède pas d'écailles sur tout son corps est permis, et même s'il n'a qu'une nageoire et qu'une seule écaille, il reste valable (à la consommation).


Torat Cohanim 
Enseignement: d’où savons-nous qu’un poisson avec une seule nageoire et une seule écaille est permis ? Car il est dit "nageoire et écaille" (au singulier)akadem




techouvot


Jacques Kohn


c'est un DEFI SCIENTIFIQUEMENT EXTRAORDINAIRE QUE NOUS LANCE LA THORA ICI, 

à savoir de trouver un poisson avec écailles et sans nageoire ; comment comprendre en des temps si reculés que la Thora puisse annoncer qu'un certain type d'animal (ce poisson) ne puisse pas exister alors qu'à cette époque très peu d'espèces étaient connues, la plupart des mers étant inconnues des juifs ? 

Comment comprendre que des sages risquaient de mettre en disgrace la Thora par de telles affirmations si elles n'étaient pas vraies ? 



La Tora énonce dans la parachath Chemini les deux attributs qui définissent la cacherouth d’un poisson : des nageoires et des écailles. 

Il n’existe pas de poisson, énoncent nos Sages, qui ait des écailles sans avoir de nageoires ( ‘Houlin 66b). Et pourquoi, se demandent-ils, la Tora spécifie-t-elle cette exigence de nageoires, apparemment inutile ? C’est, répondent-ils, pour grandir la Tora et l’embellir. 

On a prétendu, il y a quelques années, avoir trouvé dans un musée de Washington, un poisson appelé monopterus cuchia dont l’une des particularités aurait été de porter des écailles, et non des nageoires. 

En réalité, a-t-on opposé à cette assertion, ce poisson possède bien une nageoire dorsale rudimentaire. Or, la Tora exige un minimum d’une nageoire, et non plusieurs. 

Notons en outre que l’adjectif monopterus du nom de ce poisson atteste de cette particularité : Le mot grec πτερον ( pteron ) signifie « aile », πτερύγιο ( pteruyio ) « nageoire », et μονος ( monos ) « seul ». 

On peut donc dire que cette tentative de jeter le discrédit sur la Tora a été vouée à l’échec. 

Signalons encore que l’on connaissait, dans la Rome antique, la nocivité des poissons dépourvus d’écailles (Pline l’Ancien, Naturalis Historia 32, 10).

Relativite



La courbure de l'espace temps

 
Quel est le principe de Kefitsat ha Derekh?
Est ce que l'homme peut reelement se deplacer de plusieurs centaines de km en un instant?

Jacques Kohn
                                 
La tradition juive connaît effectivement l’idée de « télé-transportation » ( qefitsath ha-dérekh ), mais elle ne l’applique, selon la Guemara Sanhédrin 95b, qu’à trois personnages de notre histoire :
Nos Maîtres ont enseigné : Notre histoire a connu trois hommes en faveur desquels la terre s’est rétrécie pour raccourcir la distance qu’ils devaient parcourir : Eliézer le serviteur d’Abraham, Jacob et Avichaï fils de Tserouya.
– Eliézer le serviteur d’Abraham : Ainsi qu’il est écrit : « Je suis arrivé ce jour-là à la source » ( Berèchith 24, 42), ce qui veut dire que c’est le jour même où il s’était mis en route.
– Jacob : Ainsi qu’il est écrit : « Jacob partit de Beèr Chéva’, il alla à ‘Haran » ( Berèchith 38, 10), puis : « Il atteignit l’endroit et il y passa la nuit car le soleil s’était couché » (verset 11).
Arrivé en effet à ‘Haran, il s’est dit : « Est-il possible que je sois passé à l’endroit où mes pères ont prié et que moi je n’y aie pas prié ! » Il a donc voulu retourner sur ses pas. Alors qu’il pensait à s’en retourner, la terre s’est rétrécie, et aussitôt : « il atteignit l’endroit »



           RELATIVITÉ D'ALBERT EINSTEIN
           http://home.ican.net/~samsara/SpiSc/Science/Relativite.html


La physique dite relativiste s'applique aux particules dont les vitesses se rapprochent de celle de la lumière ( 300 000 km/s); pour de telles particules, on observe la contraction des longueurs et la dilatation du temps, par ailleurs la relativité impose une limite au niveau des vitesses et nous fait découvrir que la matière n'est en fait qu'une forme d'énergie. Dans sa relativité restreinte (1905), Einstein démontre avec brio que toute description de l'univers n'est possible qu'après avoir établi une relation entre l'espace et le temps, concept à grande portée scientifique qui remplace l'espace traditionnel à trois dimensions par l'espace-temps à quatre dimensions.


1) LA CONTRACTION DES LONGUEURS

La relativité nous apprend que la distance se contracte avec la vitesse: pour un observateur regardant un objet, celui-ci lui paraîtra d'autant plus aplati dans le sens de son mouvement qu'il se déplacera plus rapidement par rapport à lui. Supposons que la longueur d'une fusée soit de cinq mètres au repos et qu'elle passe devant un observateur à une vitesse de 260 000 km/s, celui-ci la verra sous une longueur de 2,5 m environ avec une largeur et une hauteur inchangées.

2) LA DILATATION DU TEMPS

Une durée paraît d'autant plus longue que la vitesse de l'objet sur laquelle elle est mesurée est plus grande. Un médecin observant par télévision le pouls d'un cosmonaute dans une fusée lancée à 260 000 km/s le verrait battre environ toutes les deux secondes, soit environ deux fois moins vite que si ce cosmonaute avait été au repos par rapport à lui.

3) LOI DE COMPOSITION DES VITESSES ET VITESSE LIMITE

On peut envisager la situation suivante: si un cycliste roule dans un train à une vitesse de 20 km/h par rapport au train, alors que le train est lancé à 200 km/h par rapport à un observateur au repos, le cycliste aura une vitesse de 220 km/h par rapport à cet observateur. Ce principe n'est absolument plus valable si on remplace le cycliste par de la lumière: dans le cadre de la théorie de la relativité, la vitesse de la lumière par rapport à l'observateur restera à 300 000 km/s, vitesse qu'on ne peut pas dépasser selon cette même théorie. Michelson avait inventé une méthode astucieuse pour tenter dépasser cette limite. Il envoyait un rayon lumineux (300 000 km/s) en sens inverse du mouvement de la Terre par rapport au Soleil (29 km/s); il espérait voir la lumière voyager à 300 029 km/s, mais en vain. La loi de composition des vitesses est modifiée pour les particules relativistes. Ainsi, si une fusée se déplace à 1500 000 km/s par rapport à la Terre et si celle-ci lance un missile à 150 000 km/s par rapport à elle et dans le sens de son mouvement, le missile n'aura pas une vitesse de 300 000 km/s par rapport à la Terre, mais seulement une vitesse de 240 000 km/s. Si deux points A et B sont distants de 5 km, un piéton allant à 5 km/h mettra une heure pour parcourir cette distance, alors qu'un piéton allant à 10 km/h (ou un piéton allant à 5 km/h sur un tapis-roulant qui se déplace également à 5 km/h) ne mettra qu'une demi-heure. Puisque l'espace et le temps sont reliés, plus la vitesse d'un voyageur est grande quand il arrive au point A, et plus il constatera que la distance AB sera petite. Si la vitesse était égale à celle de la lumière, la distance AB serait nulle. C'est ce principe qui nous permet d'entrevoir les possibilités d'exploration de l'Univers dans le cadre de la Relativité : la diminution des longueurs alliée aux grandes vitesses. Pour un cosmonaute se dirigeant vers Andromède (2 000 000 A.L. de la Terre) à une vitesse proche de celle de la lumière, il mettrait quelques années seulement pour parvenir à destination et ce pour deux raisons: la vitesse relativiste accompagnée de la diminution de la distance pour ce cosmonaute. La relativité interdit que des particules puissent atteindre ou à fortiori dépasser la vitesse de la lumière si on les accélère, mais elle laisse entrouverte la voie conceptuelle de son dépassement à condition que le procédé utilisé soit différent de l'accélération.

4) ÉQUIVALENCE ENTRE MATIÈRE ET ÉNERGIE

Depuis Einstein, la matière est considérée comme une forme d'énergie. La matière peut se transformer en énergie et réciproquement. Le calcul de l'énergie qui apparaît se fait en utilisant la célèbre relation d'EINSTEIN:
E = mc^2

m: perte de masse en kilogrammes
c: vitesse de la lumière (300 000 km/s dans le vide)

Le grand triomphe (d'aucuns prétendront peut-être qu'il s'agit plutôt là d'un désastre...) de la relativité, c'est d'avoir prévu la transformation de la masse en énergie environ 40 ans avant qu'elle ne soit réalisée pour la première fois à Hiroshima.
Avec l'avènement de la mécanique quantique , Dirac (1931) synthétisa l'antiélectron, de même masse que l'électron mais de charge électrique opposée. Cette particule est telle que lorsqu'elle rencontre un électron, toute la matière est transformée en énergie.

Électron + Antiélectron -------> Énergie rayonnante


Cette énergie se calcule en multipliant la constante de Planck par la fréquence de la radiation:
E = constante de Planck * Fréqunce

constante de Planck = 6,62 x 10-34 J.s

Après cette fascinante découverte, d'autres suivirent bien sûr: découverte de l'antiproton et de l'antineutron, et finalement la synthèse de l'antimatière. Tous ces concepts fondamentaux se comprendront plus facilement si l'on retourne à la structure de l'Univers selon Einstein.

5) L'ESPACE-TEMPS DE LA RELATIVITÉ

Pour Einstein, la description de l'Univers ne peut se pas réaliser sans la constante référence à la relation entre l'espace et le temps, et c'est pour cette raison qu'il remplace l'espace traditionnel à trois dimensions par l'espace-temps à quatre dimensions. Dans sa Relativité Générale, Einstein eut le génie de comprendre que l'évolution à réaliser était d'ordre géométrique: non seulement les phénomènes sont relatifs à l'Espace-temps, mais ils sont de Espace-temps. Uneparticule de matière n'est autre que de l'espace-temps fortement recourbé. Par la suite, Einstein formule une loi générale qui gouverne la distribution géométrique de l'espace-temps en décrivant les interactions gravitationnelles comme celles produites autour de la matière par une courbure de l'espace-temps. Il est à noter que le temps ne se prolonge pas à l'infini dans le passé, puisqu'il s'arrête à la naissance de l'univers il y a environ quinze milliards d'années. L'espace et le temps sont associés pour donner tous les phénomènes que nous observons; de plus cet espace-temps est fermé sur lui-même et en expansion dans toutes les directions. Si la relativité donne une description satisfaisante du macrocosme de l'univers, elle est beaucoup plus silencieuse en ce qui concerne l'infiniment petit; c'est la mécanique quantique qui donne une explication dans ce domaine.

René-Yves Hervé

Jour UN



Gerald Shroeder, professeur au MIT.
  Le voyage dans le temps et le Big Bang
Les sources classiques Juives nous expliquent qu’avant le commencement nous ne savons pas réellement ce qu’il y a. On ne peut décrire ce qui précède l’univers. Le Midrach pose la question: ” Pour quelle raison la Bible commence-t-elle par la lettre Beth ? ”. La raison en est que la lettre Beth (qui s’écrit un peu comme un C à l’envers) est fermée de tous les cotés à l’exception du coté qui indique la direction avant. On ne peut donc dire ce qu’il y avait avant mais seulement après.
Na’hmanide, le Cabaliste, va plus loin. Il dit que bien que les jours aient une durée de 24h00 chacun, ils contiennent ” kol yemot ha-olam toutes les époques et tous les secrets du monde.
Na’hmanide dit qu’avant l’univers, il n’y avait rien … puis soudain la création tout entière apparaît sous la forme d’une graine minuscule. Il donne une dimension à cette graine: quelque chose de tout petit équivalent à une graine de moutarde. Il dit encore que cela fut la seule création physique. Il n’y a pas eu d’autre création physique; les autres créations furent d’ordre spirituel et concernèrent le Néfèch (l’âme animale) et la Néchama (l’âme humaine). La création d’une minuscule graine fut la seule création. Toute la matière de base nécessaire à la création de tout le reste était contenue dans cette graine. Na’hmanide en fait la description suivante: ” dak me’od, ein bo mamach ” – totalement minuscule, sans substance. Cette graine, qui bien que minuscule et sans essence, est devenue matière à mesure qu’elle s’est dilatée comme nous le savons.
Na’hmanide écrit plus loin: ” Micheyech, yitfos bo zman ” – Lorsque cette matière s’est formée à partir de cette substance sans substance, le temps a pris forme. Non pas “a commencé”, le temps ayant été créé au tout début mais “a pris forme”. L’horloge Biblique démarre lorsque la matière s’est condensée et figée à partir de cette substance si ténue au point qu’elle n’avait pas d’essence.
La Science a démontré qu’il n’existe qu’une seule “substance sans substance “qui peut se transformer en matière. C’est l’énergie. La fameuse équation d’Einstein E = MC^2 nous apprend que l’énergie peut se transformer en matière. Et à partir du moment où elle devient matière, le temps prend forme.
Na’hmanide a fait là une déclaration phénoménale. Je ne sais pas s’il connaissait les lois de la Théorie de la Relativité. Mais nous, nous les connaissons. Nous savons que l’énergie – telle que les faisceaux de lumière, les ondes radio, les rayons gamma ou bien les rayons x – se déplace à la vitesse de la lumière, c’est à dire à la vitesse de 300 millions de mètres par seconde. A cette vitesse là, le temps ne s’écoule pas. L’univers était âgé mais le temps n’a pris forme que lorsque la matière est apparue. Cette période temporelle avant que l’horloge de la Bible ne démarre a durée 1/100000ième de seconde. Un temps infime certes, mais durant ce temps l’univers s’est dilaté partant de la taille d’une graine minuscule pour atteindre environ la taille du Système Solaire. A partir de ce moment, la matière apparaît et le temps commence à s’écouler. L’horloge démarre à cet instant.
Lorsque la Bible nous dit qu’il y eut ” un soir et un matin, Jour Un ”, c’est pour nous donner un enseignement quant à la perspective que la Bible a du temps. Einstein a prouvé que le temps varie d’un endroit à l’autre de l’univers, de même la perspective qu’on en a dépend de l’endroit où l’on se situe. La Bible déclare qu’il y eut ” un soir et un matin, Jour Un ”. Si donc la Torah avait considéré le temps selon l’époque de Moïse et du mont Sinaï, longtemps après qu’ait vécu Adam, le texte n’aurait pas utilisé l’expression Jour Un, car à l’époque du mont Sinaï des millions de jours s’étaient déjà écoulés. Et puisqu’un temps considérable s’était écoulé par rapport au Jour Un, le texte se devait d’employer l’expression “un Premier Jour”. Lors du second jour de la Genèse, la Bible mentionne “un second jour” parce qu’il y avait déjà eu un jour premier par rapport auquel une comparaison était possible. Lors du second jour, on peut parler de “ce qui s’est produit lors du premier jour”. Par contre, lors du premier jour, on ne peut pas parler de “ce qui s’est produit lors du premier jour” parce que premier implique une comparaison supposant l’existence d’une série. Et justement il n’y avait pas de série. Tout ce qu’il y a eu c’est un Jour Un.
Même si la Torah avait considéré le temps selon l’époque d’Adam, le texte aurait employé l’expression “un premier jour” car c’est selon ces dires qu’il y a eu six jours. La Torah utilise l’expression “Jour Un” parce qu’elle regarde en avant à partir du début. Elle pose la question: quel est l’âge de l’univers et elle répond: il est de six Jours. On compte le temps jusqu’à Adam et on obtient Six jours. Nous, nous regardons en arrière et nous disons que l’âge de l’univers est de 15 milliards d’années. Cependant lorsque les scientifiques affirment que l’univers a 15 milliards d’années ils savent bien par ailleurs qu’il y a quelque chose qui n’est jamais dit. Ce qui n’est jamais dit c’est que l’univers a 15 milliards d’années vu du cadre spatio-temporel dans lequel nous existons. Telle est la conception qu’Einstein a de la relativité.
L’élément clé est que la Torah regarde en avant dans le temps depuis un cadre spatio-temporel très différent du notre à une époque où l’univers était très petit. Ensuite il y a eu une expansion de l’univers. L’espace s’est dilaté et c’est cette dilatation qui a produit un changement dans la perception du temps.
Imaginons que nous remontions des milliards d’années en arrière au commencement du temps. Supposons donc qu’à ce moment là, lorsque le temps a pris forme, il y avait une communauté intelligente (ceci est totalement fictif). Supposons que cette communauté intelligente disposait d’un laser et qu’elle s’est mise à émettre des impulsions de lumière: à chaque seconde d’intervalle une impulsion de lumière, puis une autre et encore une autre toujours à une seconde d’intervalle. Supposons que des milliards d’années plus tard grâce à une antenne satellite nous recevions sur terre cette impulsion lumineuse. Sur cette impulsion de lumière (la transmission d’information sur onde lumineuse c’est ce qu’on appelle la transmission sur fibre optique) est imprimé le message suivant: ” je vous envoie une impulsion toutes les secondes ”. Puis une seconde s’écoule et une autre impulsion est émise.
La lumière voyage à la vitesse de 300 millions de mètres à la seconde. Par conséquent les deux impulsions lumineuses sont séparées à l’origine par 300 millions de mètres. Elles voyagent à travers l’espace pendant des milliards d’années pour atteindre la terre des milliards d’années plus tard. Mais, un instant. L’univers est-il statique ? Non. L’univers est en expansion. C’est la cosmologie de l’univers et cela veut donc dire qu’il est en expansion dans un espace vide situé à l’extérieur de l’univers. Cependant il n’y a pas d’espace à l’extérieur de l’univers. L’univers est en expansion du fait de la dilatation de l’espace. Qu’est-il donc arrivé à ces impulsions de lumière qui ont voyagé durant des milliards d’années alors qu’il y a eu expansion de l’univers? Ces impulsions se sont trouvées de plus en plus distantes les unes des autres du fait justement de la dilatation de l’espace entre ces impulsions. Lorsque des milliards d’années plus tard, la première impulsion arrive, on s’exclame: ” Oh, une impulsion ! ” Avec écrit dessus: ” je vous envoie une impulsion toutes les secondes ”. Là, vous appelez tous vos amis et vous attendez l’impulsion suivante. Mais arrive-t-elle une seconde plus tard ? Non ! Une année plus tard ? Probablement pas non plus. C’est peut-être des milliards d’années plus tard. Car ce qui va permettre de mesurer la dilatation qui s’est produite c’est le temps qu’aura passé l’impulsion de lumière à voyager à travers l’espace. Ceci relève de la cosmologie commune.

Le Serpent

an engraving showing adam and eve with a serpent in a tree
Albrecht Dürer, ‘Adam et Eve’



« Et tu marcheras sur le ventre »
 c’est là la malédiction que Dieu a placé sur le serpent pour avoir tenté Eve en lui faisant manger du Fruit défendu. La tradition juive explique que le serpent avait alors des pattes et que par la malédiction divine, ses jambes ont été “enlevées”.

Toutes les personnes qui rejettent la religion -quelle qu’elle soit- rejettent également tout ce qui est dit dans les livres Saints. Mais une fois de plus, il semble que la science rattrape la religion !
Le très sérieux magazine New Scientist en fait la preuve dans un article publié ce mois-ci. Après une étude au rayon X de serpents fossilisés, les scientifiques se sont rendu compte qu’il existe bien un “os” de la jambe “caché” chez le serpent.
Les serpents peuvent avoir évolué à partir de lézards terrestres, selon de nouvelles images à rayons X qui révèlent une jambe cachée dans un fossile rare. Les résultats pourraient aider à résoudre un débat, quant à savoir si les créatures rampantes ont évoluées à partir de lézards vivant dans la mer ou sur les terres. Et ainsi de s’avoir s’ils se sont “adaptés” en perdant leurs jambes.
Dirigée par Alexandra Houssaye du Musée National d’Histoire Naturelle à Paris, l’étude a été menée sur un fossile unique d’un serpent aujourd’hui disparu: l’Eupodophis descouensi . Le fossile, qui a été trouvé il y a dix ans dans des roches de 95 millions d’années au Liban, serait une étape intermédiaire dans l’évolution des lézards sans pattes vers “le serpent” tel qu’on le connaît aujourd’hui.
Une jambe était déjà visible sur la surface du fossile. Maintenant, de puissants rayons X ont révélé une deuxième étape qui était caché dans la pierre (grâce à la reconstruction 3D de l’os de la jambe). La structure de la jambe, qui est pliée au niveau du genou, avec quatre ligaments mais sans aucun os du pied, ressemble à celle des lézards terrestres d’aujourd’hui, ce qui suggère que les ancêtres des serpents ont évolué sur terre.
Cela accrédite également la thèse divine. Merci la science !

(source JSS News)
chiourim

Microbes

Microbes et Maladies Contagieuses

Avant la mise au point du microscope qui a rendu possible la découverte et l'exploration du monde des microbes, aucun scientifique ne pouvait imaginer qu'il existât d'autres créatures que nous ne puissions voir du fait de leur petite taille :
La taille moyenne d'un microbe est de 2 microns sur 2 microns (un micron étant égal à 1/1000ème d'un millimètre. Autrement dit, on peut faire tenir 500 microbes l'un derrière l'autre sur un segment d'un millimètre ou bien 2000 si on les dispose l'un à côté de l'autre).
C'est un hollandais, Anthony van Leewenhoek (1632 - 1723), qui mettra au point le premier microscope capable d'observer des “petits êtres qui se déplacent en tous sens” sur un bout de tartre dentaire. Il était équipé de lentilles grossissantes (200 fois) et avait la forme d'une tablette surmontée d'une tige. Cependant , il faudra attendre la deuxième moitié du 19ème siècle pour confirmer avec certitude l'existence de ces microbes et leur rôle dans le développement des pathologies.
Celui qui a le plus sûrement fait progresser ce domaine et qui a démontré le lien entre ces petites créatures et les pathologies est le savait français Louis Pasteur (1822 - 1895). Il accompagnera sa découverte de la mise au point de méthodes de désinfection immédiatement mises en usage dans les hôpitaux afin de faire disparaître ces nuisibles “invisibles”. Jusqu'alors, on utilisait plusieurs fois le même scalpel pour opérer plusieurs malades… Nul n'était en mesure d'établir le rapport entre la mort de certains sujets et l'utilisation répétée du couteau… Imbibé de microbes.
Avec l'apparition des méthodes de désinfection, la mortalité postopératoire devait notablement baisser, et pour cause…
A la suite de ces travaux, Pasteur devait découvrir qu'il était possible d'éliminer les microbes nuisibles contenus dans le lait en les soumettant à une forte chaleur : c'est la fameuse pasteurisation, qui devait sauver la vie à ces centaines de millions de bébés que leur mère ne pouvait ou ne voulait allaiter et qui devaient être nourris au lait de vache.
Nous savons donc depuis peu :
1. Qu'il existe des microbes.
2. Qu'ils sont à l'origine de certaines maladies et qu'ils contribuent à leur contagion par divers “conducteurs” comme le sang ou diverses sécrétions.
3. Qu'on peut les détruire par la chaleur (notons au passage que nous ne connaissons le rôle de la fièvre comme destructeur de microbes depuis peu de temps).
La nouveauté en matière de maladie contagieuse devait rapidement suivre : on devait vite découvrir qu'un même microbe pouvait tuer certains sujets alors qu'il ne causait aucun dégât chez d'autres personnes.
De manière tout à fait prodigieuse, nous voyons que nos Sages semblaient maîtriser ces données puisque dans un chapitre consacré aux règles de bienséance et de politesse, ils écrivent cette phrase (Traité Derekh Eretz 7) :
“Un homme aura garde de ne pas boire dans un verre et de le passer à son ami à cause du danger de mort.”
La raison de ce danger est spécifiée dans le testament de Rabbi Eliézer Hagadol (cité dans Touré Zahav, Ora'h Haïm 170,7) :
“De peur qu'il ne soit atteint d'une maladie dans son corps, que cela sorte de sa bouche et se pose dans le liquide restant dans le verre ; son ami serait également malade.”
Autrement dit, Rabbi Eliézer Hagadol, qui vivait à l'époque des Sages de la Michna (c'était il y a 2000 ans), savait déjà :
1. Qu'il existe des maladies qui peuvent se développer à cause d'êtres invisibles qui se trouvent dans un membre atteint mais également dans l'ensemble du corps du malade, y compris dans ses sécrétions.
2. Ces “causes invisibles” peuvent circuler d'un individu à l'autre par toutes sortes de moyens comme un verre d'eau et contaminer ainsi d'autres sujets.
3. Et la grande nouveauté : même un homme bien portant doit éviter de faire boire son ami dans un verre dans lequel il vient de boire “de peur qu'il ait une maladie dans son corps”. Autrement dit, il est possible qu'un sujet en parfaite santé soit porteur d'un microbe auquel il est en mesure de résister alors que son ami pourrait en souffrir (!)
Et encore ceci :
Le Talmud, qui a été écrit 1600 ans avant notre époque proclame (Traité Avoda Zara, traduit de l'araméen) :
“Chemouel a dit : une blessure qui a été causée par un morceau de fer implique un danger pour la vie du blessé. On transgressera le Chabbat pour lui.”
Autrement dit, bien que l'on ne transgresse pas le Chabbat pour une simple blessure (puisque l'on ne transgresse le Chabbat que pour sauver une vie humaine), si c'est un bout de fer qui est la cause de la blessure, on transgressera le Chabbat puisque les informations en possession des Sages de la Torah nous montrent que le malade court là un danger mortel même si la blessure semble sans danger.
On peut logiquement penser que les médecins auraient fait preuve de scepticisme face à de telles Halakhot (lois). En effet, seules les plaies occasionnant des hémorragies internes ou des blessures particulièrement dangereuses peuvent constituer une raison valable de transgresser le Chabbat ? Faut-il vraiment ajouter à cette liste des blessures qui pourraient apparaître comme bénignes ?
Et si danger il y a, s'agit-il d'un danger de mort ?
Aujourd'hui, nous savons qu'on peut mourir d'une plaie “bénigne” occasionné par un morceau de fer rouillé. En effet, la rouille contient des microbes responsables d'une maladie terrible : le tétanos.
Nos Sages n'avaient pas besoin d'attendre les recherches scientifiques de l'époque moderne pour le savoir ; en effet, malgré leurs scrupules concernant l'observance du Chabbat, ils n'étaient pas prêts à accepter l'argument, scientifique au demeurant, selon lequel la cause de la mort d'un sujet blessé par un bout de fer était à chercher dans une pathologie antérieure à cette plaie. Tant que les microbes n'avaient pas été identifiés, les médecins ne pouvaient pas penser que sous une plaie bénigne pouvaient se cacher des “tueurs invisibles”. Ils étaient encore moins enclins à conseiller de transgresser le Chabbat pour sauver une vie qui ne leur semblait pas compromise.
Nos Sages étaient cependant d'un avis diamétralement contraire puisque les lois du Chabbat, transmises de génération en génération, affirmaient haut et fort qu'un sujet qui s'était blessé avec un morceau de fer rouillé courait un danger mortel et se devait donc de transgresser le Chabbat. Ils avaient donc ordonné que celui qui courait là un risque d'infection mortelle ne recule devant aucun moyen pour sauver sa vie. La science moderne devait leur donner raison.
La mise au point de la pasteurisation
Comme si tout cela ne suffisait pas, il apparaît de surcroît que nos Sages connaissaient cette méthode d'élimination des microbes par la chaleur. Nous voyons par exemple que certains textes du Talmud exigent que l'on ne boive que de l'eau qui a été bouillie (Traité Baba Metsia 29b) :
“Il est préférable de boire du verre contenant des ingrédients utilisés pour la magie plutôt que de boire de l'eau tiède qui n'a pas été bouillie.”, parce que ce type d'eau est dangereuse pour la santé (il faut se souvenir que l'eau était alors puisée à la source ou au puits et qu'elle ne faisait pas l'objet d'une désinfection comme aujourd'hui).
Mais nos Sages ajoutent des données que la science moderne n'a pas encore mises en évidence :
“Tout ce que nous avons dit n'est valable que pour un ustensile de fer mais si l'on boit dans un ustensile en argile, on ne craint pas ces effets négatifs. Même s'il s'agit d'un ustensile en fer, ces effets négatifs ne sont à craindre que si l'on n'a pas fait bouillir l'eau mais si on l'a faite bouillir, même si elle s'est refroidie, on peut boire sans crainte. Et l'on ne tient cette règle que si l'on n'a pas jeté dans l'eau des feuilles de végétaux ou des épices etc.” (Notons que les eaux qui ont été chauffées dans un ustensile en verre contiennent encore de la pierre ou de la rouille alors que celles qui ont été chauffées dans un ustensile en fer sont limpides puisque la pierre et la rouille ont été avalées par les parois de l'ustensile.)
Il faut cependant garder à l'esprit les recommandations de Maïmonide dans Le guide des égarés (Partie 3, chapitre 14) qui précise que toutes les connaissances à caractère scientifique qui sont mentionnées dans les textes de nos Sages doivent toujours faire l'objet d'une vérification. En effet, il est possible que les différents facteurs naturels qui ont conduit à l'adoption d'une telle médication ou d'une recommandation spécifique aient subit un changement, que le corps humain ait changé ou que le médicament ne soit plus adapté.
Voici de toute façon un défi pour les scientifiques de notre époque.
La stérilisation des ustensiles d'opération chirurgicale
Comme si cela ne suffisait pas, il apparaît clairement que la nécessité de stériliser les ustensiles d'intervention chirurgicale était connue de nos Sages. Prenons à nouveau le temps de consulter le Talmud qui nous raconte l'intervention chirurgicale pratiquée sur le corps de Rabbi Eléazar, le fils de Rabbi Chimon Bar Yo'haï (Traité Baba Metsia 83b):
“Ils lui ont fait boire un anesthésiant, ils l'ont fait entrer dans une chambre entièrement marbrée d'un marbre propre, ils lui ouvrirent le ventre…”
Pourquoi ont-ils pratiqué cette intervention dans une chambre entièrement marbrée ? Il est clair que le marbre permettait de conserver des conditions d'hygiène plus sûres que tout autre matériau et de préserver le malade de toute infection.
Pour conclure cet article, nous pouvons dire que les Sages de la Torah savaient à partir des textes de la Torah elle-même :
1. Qu'il y a des êtres minuscules et invisibles.
2. Que ces êtres transportent des maladies (on les appelle en hébreu 'Haïdak qui est la contraction des mots 'haï, vivant et dak, fin).
3. Que les microbes peuvent se trouver dans l'ensemble du corps du porteur ou du malade y compris dans sa salive et non pas seulement dans un membre affecté.
4. Que c'est donc la raison pour laquelle il convient de s'abstenir de boire dans le verre dans lequel un ami a trempé ses lèvres. Il est possible qu'il soit porteur d'un microbe.
5. Que du fait du caractère impérieux de la mise en garde prononcée par nos Sages, il apparaît clairement qu'un homme peut porter un microbe qui ne lui occasionnera aucun problème alors qu'il pourra se montrer redoutable pour son ami.
6. Que le fer peut contenir des microbes dangereux. C'est la raison pour laquelle une blessure, même bénigne (dans le ventre par exemple), devra faire l'objet d'un traitement en urgence, y compris le Chabbat. Il est clair que l'on inclut dans cette injonction les vraies blessures, c'est-à-dire une coupure qui entaille la chair et non une égratinure légère.
7. Que l'on peut éliminer les microbes en les ébouillantant.
8. Qu'à cause des risques d'infection (septicémie et autres), il convient de pratiquer des opérations chirurgicales dans des conditions de stérilité absolue.

Sang


Le sang est le liquide qui coule dans notre corps. Il transporte les aliments et l’oxygène dont le corps a besoin.
Le sang circule dans le corps dans plus de 80 000 km d’artères, de veines et de petits vaisseaux très fins appelés capillaires ; ceux du cerveau ou des yeux, par exemple sont à peine plus gros qu’un cheveu. Le corps d’un adulte contient entre cinq litres et six litres de sang.
Lorsqu’il quitte le cœur, le sang est de couleur rouge car il est chargé d’oxygène.
Quand il revient au cœur, il est de couleur sombre : il est alors chargé de gaz carbonique et vient se réoxygéne tncorpshumain


Lévitque 17 : 11 Car l'âme de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel, afin qu'il servît d'expiation pour vos âmes, car c'est par l'âme que le sang fait l'expiation
Le sang sert à diffuser l’oxygène, les hormones et les élémentes nutrifs nécessaires aux processus vitaux de la chair (tissus du corps) , et à évacuer les déchets tels que le dioxyde de carbone ou les déchets azotés. La Bible nous démontre ainsi l'mportance fondamentale que le sang a pour faire vivre la chair.



Le sang est un tissu conjonctif présent chez la plupart des animaux évolués. Ce liquide sert à diffuser l'oxygène et les éléments nutritifs nécessaires aux processus vitaux de tous les tissus du corps, et à évacuer les déchets.
Le sang est mis en mouvement par le cœur qui permet sa circulation dans tout l'organisme. Il passe par les poumons pour se charger en dioxygène (petite circulation), et ensuite circule à travers le corps via les vaisseaux sanguins (grande circulation). Il diffuse son oxygène au niveau des capillaires sanguins qui sont les plus petits vaisseaux sanguins de l'organisme. Dans son état désoxygéné, sa couleur rouge est moins brillante.
Le sang enlève aussi les poisons et les produits de déchets qui seront traités par le foie, les reins, et les intestins qui vont les évacuer vers l'exterieur sous forme d'urine ou de fèces.

Eléments chimiques présents dans le corps humain

Genèse 2 : 7 Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.
Genèse 3 : 19
 C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière,et tu retourneras dans la poussière.
Il est prouvé scientifiquement que le corps humain est constitué des mêmes éléments chimiques que la poussière tels que : le C (carbonne), l'H (hydrogène), l'O (oxygène), l'N (azote), le P (phosphore) et le P (potassium). En effet, lorsque les cellules du corps humain ne se régénèrent plus, le corps humain entre en phase de décomposition jusqu'à devenir des simples éléments chimiques.

Taux des éléments chimiques présents dans le corps humain

La majeur partie du corps humain est composée d'eau. Les cellules présentes dans le corps ont entre 65% et 90% de leur poids en eau. Par conséquent il n'est pas surprenant que l'élément le plus présent en masse dans le corps humain soit l'oxygène. Le carbone, l'élément de base des cellules organiques vient aussi en deuxième position. 98.5% de la masse du corps humain sont représentés par seulement six éléments: oxygène, carbone, hydrogène, azote, calcium, phosphore.

Les éléments du tableau périodique classés par pourcentage massique dans le corps humain



Les éléments atomiques classés selon les catégories suivantes
Numéro atomique
Masse atomique
Densité
Température d'ébullition
Année de découverte
Energie d'ionisation

Taux de présence dans la croute terrestre

Taux de présence dans le corps humain

Pour les étudiants en chimie ainsi que pour les professeurs le tableau de droite trie les éléments selon leur taux de présence dans le corps humain.
Le premier élément chimique dont pourcentage dans le corps humain est le plus élevé est l'oxygène et celui dont le pourcentage est le plus faible est le brome.
Seulement 29 éléments chimiques sont significatifs dans la croute terrestre
Notez s'il-vous-plait que les éléments dans ce tableau ne sont pas représentés de manière à faire apparaître des liens entre les éléments comme dans le tableau périodique qui permet de distinguer les métaux les semi-conducteurs, les non-métaux, les gaz nobles inertes, les halogènes, les lanthanoïdes, Actinoïdes (éléments rares sur terre) et métaux de transitions.

Elément chimique

Pourcentage en poidsOù trouver ces élément dans le corps humain?

Oxygène

65fluides et tissus (carbohydrates, protéines, graisses, ADN, ARN, eau corporelle, os)

Carbone

18partout (carbohydrates, protéines, graisses, ADN, ARN)

Hydrogène

10fluides et tissus (carbohydrates, protéines, graisses, ADN, ARN, eau corporelle, os)

Azote

3fluides et tissus (protéines, graisses, ADN, ARN)

Calcium

1.5partout (os en particulier)

Phosphore

1urine, protéines, graisses, ADN, ARN, os

Potassium

0.4eau corporelle

Soufre

0.3protéines

Sodium

0.2fluides et tissus (eau corporelle en particulier)

Chlore

0.2eau corporelle

Magnésium

0.1partout (enzyme permettant synthèse ADN)

Iode

0.1enzymes aidant la synthèse d' hormones

Fer

0.1enzymes permettant transport oxygène du sang

Cuivre

traceenzymes

Zinc

traceenzymes (stabilise ces dernières)

Sélénium

traceenzymes

Molybdène

traceenzymes

Fluor

traceos et dents

Manganèse

traceenzymes permettant synthèse ADN

Cobalt

traceenzymes

Lithium

trace infimeenzymes

Stroncium

trace infimeenzymes

Aluminium

trace infimeenzymes

Silicium

trace infimemuscles et peau

Plomb

trace infimeenzymes

Vanadium

trace infimeenzymes

Arsenic

trace infimeenzymes

Brome

trace infimeenzymes



Source: http://www.lenntech.fr/francais/data-perio/taux-elements-corps-humain.htm#ixzz15B4rIcjD